La mer Caspienne.
La mer était une boue large et transparente
Cassée, et il n’y avait rien
Que la pure réalité
Des pots de fleurs, des vases et une coupe
Des cheveux coupés
Par le cisèlement de cet arbuste
Irréel et invisible
Dans la tenue ouverte par les hanches
D’une nature superflue
Siégeait la venue d’une déferlante