La mer Caspienne.

La mer était une boue large et transparente
Cassée, et il n’y avait rien
Que la pure réalité

Des pots de fleurs, des vases et une coupe
Des cheveux coupés
Par le cisèlement de cet arbuste
Irréel et invisible

Dans la tenue ouverte par les hanches
D’une nature superflue
Siégeait la venue d’une déferlante

Ajouter un commentaire

Votre email n'est jamais partagé. Les champs obligatoires sont notés : *

*
*