C.
 

Le silence de tes organes
et de tes airs pincés
dans le plus tumultueux des cortèges
invisibles et la plus surannée
des vacances primitives
toi seulement, dans la faculté
de transparaitre
de ne rien être que le tout
que j’ausculte et transplante
dans le silence de nos mémoires
dans l’évanouissement
de nos brides
seulement être
deux poses qui se joignent
deux cerveaux qui s’unissent
si seulement je pouvais
être brisé dans tes chairs
être le tout salubre de toi
mourir

dans les brides intercalées
de nos corps siamois
dans l’abnégation de l’être
la mort de toi.

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