AILLEURS
Toi la dénommée fustige en ce siècle
un carnaval d’erreurs
c’est en prenant du bras
les longues aspirations et certains obstacles
que se vendent les clameurs
en dénigrant les phrases et les autels
c’est en soumettant l’ardeur aux toits
et aux crânes où sont logés l’espiègle
lenteur que se forment des mers
c’est une triste nécessité d’être dans les pieds
d’une table qui sévit dans un autre lieu
la principauté débordée où sont
d’autres levées d’un paysage