Septembre

septembre est le brin cassé
je fais le pari qu’il n’y a pas de sorcellerie
pour m’acquitter du vent
ou du poivre du ciel
qui entre en déclin dans la haute cage
et dans le phalanstère
debout sur les corvées des gens
des femmes sont des souvenirs
qui tiennent sur la bordure
et le grillage d’une écriture
il n’y a que des tendons qui tiennent
dans l’atmosphère.

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