NOUN
Je commence dans le noun
des fois je suis la partie du cosmos
qui est si noire qu’elle purge la nuit
des fois l’îlot et la croissance des sphères
je les contrains de se défaire
je combats pour un rien et que soit
seulement affichée la liberté du rien
que soient passés dans les niches
des vauriens qui sèment la panique
le noun est une défaite, inscrite dans le maât
le noun prend la salle des fêtes
et s’installe dans la mélancolie et les déserts
mais la faim sûrement du maât
est la colonne vertébrale qui prend les feux
et les sables des plages