LE VOYAGEUR
 

Non de silence dans une avenue pareille
Pour que passent et se défassent des appareils
Dont l’insignifiance est une bouée
Tranquille mais déconstruite comme le lointain du cri

Il vit en battant des balles dispersées
Celui qui touche aux notes mystérieuses
Aux touches nauséabondes du piano
Il est comme un reflux celui qui s’étend
Sur la lande des colères et l’abstention
De la parole celui qui tient à terre

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