Le calme est un lieu de disgrâce pourtant qu’il occupe
Ce lieu où sont inscrites les places
Qui nous ont fait souffert et vivre
Dans une joie lointaine
Bâtissant toujours l’empire de soi.

J’occupe la pleine présence
D’un pays intérieur
Il n’y a pas de limites aux lignes ni aux frontières
Qui sont dans l’étreinte d’une pierre

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