Je suis un peu courbé. Stigmate du bouddhisme, des religions égyptiennes ou d’une folie dégénérative. Le dehors passe comme un son de piano alors que machinalement, il se recroqueville et se pince. J’aurais besoin de mains, d’une largesse qui viendrait prendre à partie la tyrannie. J’avais d’ailleurs décidé de ne pas parler de ces choses là. Ces choses là, ne sont elles pas un rebord de fenêtre en bois écaillé, ou un fleuve qui semble une muraille mouvante, à laquelle on ne porte qu’une attention mitigée lorsqu’elle nous recouvre humblement de sa substance, de sa vérité de couleuvre et des sons épars qui résonnent comme des appels, lorsque tout est presque parfaitement engourdi ?