Je suis par-dessus le caniveau
par-dessus le parapet
les mots sont des huitres malsaines
les chevelures de filles certaines
sont des coins dans les huiles
et des serrures toujours fermées
comme des mers ratatinées
je suis par-dessus l’armoire
un être hybride de pierre organique
je suis en dehors des cloisons
et seulement seul dans l’onde
l’onde orientale, indienne
et celle occidentale, orphique
je ne suis rien qu’un dénuement
une vapeur trop chaude et son effet
dépresseur