demain je verrai la fleur qui ne souffre pas d’asthme
c’est déjà un chemin d’être dans le marasme
et c’est aussi une lumière
dans la tranche de la cité grise
où des morceaux de ce qu’on pourrait nommer
le passé ont laissé des germes qu’on ne voit pas
l’invisible apporte la nuée mais l’asthme
est le temps couvert sur le mal ambiant
qu’il faut respirer comme une algèbre

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