Oui la mer est lointaine
Je crois aussi, qu’il me tarde
De suivre le dénivelé et la chute
D’une peau en mascara
Pour faire de rugueux mélanges
Et de savants édifices
Mélange de tes hanches
Et de lois, intangibles
Dans l’affaissement des contraintes
Et des falaises calcaires
Il me tarde de venir à la loi
L’ubiquité des phalènes
Et la pleine durée
Du fer que tu ronges tandis
Que se dévoie un peu de cet artifice
Qu’en bas les passants font en marchant
Ils soulèvent l’air de la ville
Et tandis qu’une main de fleurs
Entretient sa fêlure et son pansement
Je reste épuisé
Dans une angoisse de l’éloignement
Une angoisse géographique