Je sonne la fin de la fête
Et le début de l’épreuve
Mes initiatives se sont prises au filet
Qui les a rendues malsaines, et mauvaises
Tout est leurré dans une trouble solitude
L’essence de ne plus être au monde
Ou d’avoir un monde qui redouble
Dans une succession de verres
Sans cesse plus pilés.
Tu navigues pourtant, dans la fourchette oiseuse
De tes délires
Et confonds un soleil lumineux
Et des rayons d’espérances
Avec ta disparition.