Je descendais, après avoir été
Sans cesse relégué à une plus pure solitude
Une plus étrange manière d’être seul
Et d’être au fond de son précipité.
Ce n’était pas tant des déconvenues
Mais des ébriétés et des débris qui m’amenèrent à descendre
Et à sonder ce sol souillé de pierres et d’essences
De la paraffine dans une usine voisine
Envoyait des stimuli
Et une étrange bâtisse ressemblait à un silo obèse
Je descendais les marches dans un fracas sonore
Atténué par le sable dans l’air
Et la distance que des aboiements peuplaient
Comme une ivresse d’été qui s’oublie
Dans les entrailles d’un monstre
D’une névrose ou d’un temps subtil
Je m’assis et vis la peinture verte d’un léger cylindre