Le monde latéral des périphéries
Tombe en symbiose parmi ses verdures
Et le feu pourri, amorti
De cerveaux stériles, de fripouilles inertes
Brûle jusqu’à dévaster, un temps
La moelle osseuse de la planète
Ne t’empêche pas de faire hurler ce feu
Tant que ton corps ne sait ce qu’il ingère
Il y a des mesures qui s’équilibrent
Et des fleurs dont la tête est penchée
Par ce même poids du soleil.

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