Dépêche toi mon vieux
Il y a des cris d’alarme au-dessus du paravent
Ces jeunes filles sont toutes accoutumées
A une fin dont on ignore encore les effets
Sont-elles lassées, de prendre à la volée
Le monde ainsi ramassé
Entre quelques débris
D’ailes, et de fragilités.

Dépêche toi de mourir et d’endurcir
Le poids ainsi ausculté
De l’obscur paravent
Car elles passent comme des ailes
Dans le cimetière de l’air
Elles conduisent des engins
Que la science éplorée
A construit pour elles.

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