VILLE
Voici la ville superbe
De là viennent, les impressions surannées
Du lait de juillet. L’INVISIBLE est trompeur
En lui rien ne se satisfait
Qu’une puissante allégorie
Et qu’un puissant ensablement
Rien n’est visible sous la peau de l’être humain
Qu’une tête d’épingle
Savoir passer, par le chas
Et se sentir méticuleux
Se sentir dans la mansuétude
Du grenier du monde
Le sentiment dépressif
Sème parfois des inventions
Qui sont ce chas par où passent et viennent
Les dangereuses raisons