L’osmose me prend, comme on caresse un chien lunatique
La bordure des rivières
Et la surévaluation des paupières me perdent
Dans un midi concentrique et humide
Où l’on va mourir sur le chemin
De ce qui nous a vu naître
Et s’intérioriser comme la bulle du mauvais chien
Dans l’apanage des villes
Et l’étanchéité des souterrains

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