Oui le canyon ou la falaise
Je ne suis plus, qu’un résidu
Et que l’alliance improbable
Des couches et des strates et la pâte
Musclée de la volupté du monde
Je ne suis plus que cette lumière
D’un temps où l’on savait vivre
Dans l’abstention et le suspens
Je meurs de cette corniche
Où l’on voit encore les oiseaux de cendres
Et le départ des grues

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