CHARME

 

Dans la rame ou le couloir obstrué où passent
La musique et le battement, obséquieux
Qui tardent à venir
Aucun événement si ce n’est
La sidération non simulée d’une geisha
Surgie de la surface plane du sol
Comme toutes choses équarries
Satisfaites d’elles-mêmes déambulent

C’est étonnant

A quel point les choses figées, plaisent
A quel point l’air est meurtri
Et l’unique courant est un fond marin.

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