Il y a des oliviers qui tanguent, dans la gorge
Et des adultères dans l’angoisse
Des mousses de remembrances et la racine
Mélancolique de l’avenir
Dans les yeux qui persistent
A aimer.

Il y a des cornes de seigneurs
Dans le mal insinué de la beauté, qui tend
L’atour de la vérité essentielle
Celle du présent qui s’égale à lui-même
Et fait de la présence l’éternel précipité
Latence de finitude dans l’impatience
De mener cette vérité à l’événement.

Ajouter un commentaire

Votre email n'est jamais partagé. Les champs obligatoires sont notés : *

*
*