CHANSON DU GRAND VIDE

C’est étrange comme les cyprès chantent
Au soir tombant
Et comme les oliviers dansent
Au soir mourant
Rien que le vent de l’oubli
Le vent du présent, entament ma seconde vie
N’y suis-je pas le symbole élémentaire
De notre vieille croûte terrestre
Où je loge avec quelques amis

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