Psyché

 

Psyché, âme, dans l’espace il y avait
Ce qu’ont perdu tes pairs
Qui te tient toujours alerte

Mais laisse un peu tes idées mièvres
Couler dans la vérité
Plutôt que de les ternir avec quelques artefacts

Je suis plus âgé que toi
J’ai ton orgueil aussi
D’avoir évité les gens du regard

J’ai cette vérité à côté que je ne voulais pas voir
Tout en la décelant
Comme tu me voyais sans me voir

Vois maintenant Psyché, comme ton âme est belle
Le sursis qu’elle laisse
Comme un univers en latence

Laisse toi un peu envahir par la transcendance
Oublie, les jeux de la jeunesse
Le magnifique Psyché, n’est pas dans l’apparence

 

 

Ca ne me fait plus d’accélérations cardiaques
C’est miné, c’est mort
L’océan s’est retourné
Et les coquilles ont été reconduites au créateur
Les passions sont terminées
Et la fin de la passion, s’est perdue dans des méandres
Qui ont choqué la cloison
Tout ça pour dire que je n’ai plus d’accélérations
Mais une passion blême
Pour les choses de la raison. Qu’elle vienne
La salope adolescente
Qui était la vraie passion.

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