Dans le lit d’opacité où tu songeais
La nature fondue à la régularité de tes traits
La chair des lèvres et la fermeté du visage
Elongeaient l’air comme un amas de cellules
Comme une comateuse tu gisais inconsciente
Ignorante du dehors, de l’hiver et sa splendeur
Etoffant cette nature, épousant le ciel chargé
Les troncs et le brun ferrugineux

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