Tu es sous la poix, c’est certain
Et sous une orbite terrestre tu dors
A t’en tordre les genoux
La marche flexible du jour
Du jouer du citoyen du monde
Est au carrefour des sirènes
Chargées de miel dans leur panse
Tu digères donc, la nourriture du chantre
Entame le carême de la boue
Où poissons noyés et vêpres sanglantes
Vêpres réelles, où le carnassier de l’angoisse
Sont un vent insensé dans la ville

Le vent disperse une crise salutaire
Que des poils recueillent

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