La technologie est une salive, qui
Entre par les dents de l’histoire
Elle entame les marches du progrès
Avec les vers idéalisés du mieux-être
Et prend au collet les anciennes vindictes
Tranche au sommet les neiges insatiables
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Le lent écoulement des vases concomitantes
La rose fendue où se cimentent des extases
Jusqu’au dévouement du derme où pensent
Des chantres endormis