(suite)

 

La technologie est une salive, qui
Entre par les dents de l’histoire

Elle entame les marches du progrès
Avec les vers idéalisés du mieux-être

Et prend au collet les anciennes vindictes
Tranche au sommet les neiges insatiables

**

Le lent écoulement des vases concomitantes
La rose fendue où se cimentent des extases

Jusqu’au dévouement du derme où pensent
Des chantres endormis

Ajouter un commentaire

Votre email n'est jamais partagé. Les champs obligatoires sont notés : *

*
*