(suite)

 

Ceux qui voudraient joindre le sentiment intérieur
Aux influences minimes de quelques substances
Pour autrement, confronter le monde et l’âme
Au corps délié

A cette sublimation de l’image
Cet état limite, absorbé
Marchant à l’unisson par la folie des pensées

Qu’AUCUNE BRIDE réactionnaire et hargneuse ne peut amoindrir

 

Marche dans l’âme, dans l’air, la nature, les bords de Marne
Que le pas soit l’entrée de la folie, du délire
Les bases de l’étrangeté

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