Comme un animal qu’on éventre
Comme un miasme qui en nous construit
Une flamme destructrice qui prend

Tant de feu
Tant de flammes éteintes
Et changeantes dans la fumée
Et mourantes dans le mouroir
Où nous vagissons.

Ajouter un commentaire

Votre email n'est jamais partagé. Les champs obligatoires sont notés : *

*
*