Cynisme de la lame, poussant la césure
Au grand large, au grand néant
Aux eau noires, où le soleil dort sous les eaux glaciales
Cynisme de la nourriture, du seul pain
Sorti de la besace, frustration de ce que le pain
Ne communique l’hostie
Grandeur pourtant du cynisme pour qui l’apathie
Du chien qui dort, de l’homme qui n’a
D’autres soucis que l’épaisseur de la vie
Amenée à sa stricte définition
Beauté du cynisme, pour qui la poésie
Est la fleur enfouie de tous temps
Que la besace et la bure
Font coller au corps redoublant de chaleur
Comme une sueur olympique