Tu rentres dans le trouble
Secouée de rêves
Permanents, qui roucoulent
Dans l’atmosphère béate qui s’intègre
Parfaitement à l’air que tu brasses
A tes yeux plissés
Qui chargent l’univers
Fécondent des souches mortes
Que tu remplis d’un calvaire
Une escrime de vertèbres
Faite de simples mots tancés
Simples mots lancés
Dans la vibration de l’air