La farce de noël
Dans les veines de l’oiseau
La voûte allègre de ses lèvres
Et la consumation de ses airs
Ces chairs qui s’intercalent
Entre la bride et le frein qui saillent
La vacance et la plénitude
D’une fleur éplorée
Et des singularités de l’oiseau
Dans un jardin stagnant
Tenu par des cordages.

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