Pauvre fadasse
Tu animes des dépressions avec ton jouir
Tes petits trophées de femme banale
Incompréhensible gonzesse
Agitant son sucre dans de l’eau aseptisée

Pauvres fadaises que tes sourires mielleux
Tes cris de souris cristalline dans des gants de cuisine
Latex de l’esprit et ventouse de l’âme
Tu sens la lavande hybride qui n’a jamais été cueillie

Petits trophées aseptiques de collégienne
D’une jeunesse passée à s’ennuyer
Et jurer qu’on commettra l’indicible
Pour venger son ennui d’escargot
Par des foutaises d’apparat
Des hermines de javel
Et des rapaces empaquetés

Minable croquette à la vanille.

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