Tu as le visage vicié par la luxure
Où passent les panses d’albatros
Et meurent les fleurs de vanités
Et meurent les fêlures de vanités
Dans le tremblement de la panse
De l’albatros rougissent les fleurs
Et fêlures qui passent par la secousse
Des os poisseux de seiches
Rares et précieuses données d’algèbres marines
Fondues à la couverture de roses
Emaciées par le courant et vendues à la houle
Transparente et glacée des os de seiche
Des troncs noués, échoués