J’en ai assez du même délire
La même canopée de vieux films
J’en ai assez de la chaleur qui condense
Et déprime au sein même de la luxuriance
Du fossé qui nous tient comme un abyme

Il faudrait briser les écrous
Et manger à même la marre
La vase intermittente

Ajouter un commentaire

Votre email n'est jamais partagé. Les champs obligatoires sont notés : *

*
*