LE BAISER
Or dans cette dissemblance,
Tout concourt à l’union
Dans un sentiment d’écartèlement
D’érosion formant des bouches
Aspirant comme tout principe
Et ne rendant compte qu’au néant
Au chaos des origines
Dans cette sensation opaque
Qui recèle la pureté du rayon
Il n’y a qu’a respirer pour que fraye
Tout l’écartèlement de la vérité
Il n’y a qu’à éprouver
La succulente chair qui passe
Et basculer dans l’intensité du rayon