A René Guénon, toujours

 

Tu n’as ni le goût du corps
Ni celui d’un aliment
Tu n’es ni une denrée
Ni la poursuite du bonheur
Tu as certes été mâchée
Mais par les rouages de la vérité
Et de la connaissance subtile
Tu es ce fruit mélangé qui vient
Du jeûne et de la connaissance

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