Je me dis qu’il y a quelque chose
Plus loin que cette saturation des corps
Ces étreintes modelées dans de la dentelle
Ces anomalies quotidiennes
Qui nous poussent à jouir dans du verre brisé
S’étant frotté au tremblement de la mer
Jusqu’à devenir un microcosme de sable
Il y a quelque chose qui dépasse la condition
La gueule de l’animal des sables
Dévorant les scorpions.