Givre
Qu’en ton sein pénètre le givre
Du bonheur tu et mordant
Que se rompent
Les morsures et les dards de moustiques
Qu’en ton sein, minéral noir
Se tordent les algèbres
Que s’avale le refrain noir
Des heures menées au silence
Givre
Qu’en ton sein pénètre le givre
Du bonheur tu et mordant
Que se rompent
Les morsures et les dards de moustiques
Qu’en ton sein, minéral noir
Se tordent les algèbres
Que s’avale le refrain noir
Des heures menées au silence