ROUILLE

Tu es le néant
Le néant qui fait grise mine
Qui remue gris dans des steppes ou des jachères
Des instants de sincérité qui sont jachères
Qui sont sale brûlis de ta vérité
Coins et cornes de ton sourire factice
Ta fausse impériosité

Où le soleil franchit sa nappe de rouille
Echoue dans le feu oxydé, le fer rongé

Ajouter un commentaire

Votre email n'est jamais partagé. Les champs obligatoires sont notés : *

*
*