PAQUEBOT
Je vois l’impensable passer
L’impensable qui se lit sur une poitrine de paquebot
Amarré à un petit port de plaisance où le plaisir
Navigue comme une grue dans la chair volaille
Navigue comme une salle de machine nue
Tournant les pistons dans le sommet du crâne
L’effeuillage de métaux et la chute dans les cheminées
Cette peste là, cette impensable forme niant
La guenille et la misère cette jeune femme
Rosser rosir ce non sens par des mots de roue
Par des plaintes de vertèbres et des relents d’écrous