LES VIEILLES DAMES AU MUSEE
Ces veilles anomalies
Accompagnent de leur cortège de mort
La beauté du temple préservé
Elles assignent à son bâtisseur
La damnation de son génie
Et empestent jusqu’à la lie
Les charmes qui transpirent de ce génie
Mais ces harpies hideuses ne s’arrêtent pas là
Elles tentent de conquérir le temple
Avec toute la crotte qui leur sert de cervelle
Elles empoisonnent de leur mépris
Le lys et le calice du temple
Les bâtisseurs qui par leur beauté
Et leur chair ont façonné les vertèbres
Les allégories du temple
Ces vieilles acariâtres brûlent jusqu’à
La plus profonde charpente
La plus profonde jachère qui soient
Nées de ce nid princier