G.
L’appétit rongeur
Des dents de rats immergées
Dans l’apesanteur de ta cellulite
Et le poids forniqué
Ventru, affaissé, absent
Qui se fond à ta demeure
Presque inconsciente
De sa grande parure
Son grand incendie
Fébrile tant elle est danse
Et dense tant elle est réprimée
Au fond tu et lové du poids
De la cathédrale grandiose
S’agitent ses pignons
Ses dentelures acrobatiques
S’escrime et danse
Le spectre du poids.