Or Christ ne pouvait vieillir : il fallait qu’il meure et surtout qu’on le voie mort alors qu’il apparut sous les traits d’une jeunesse devenue éternelle, infranchissable. Non seulement il fut mort, non seulement il vit encore mais ne peut vieillir.
Qu’on pense à Casanova vieillissant ou encore à Luther et l’on comprendra. L’on comprendra que le temps dénature et désacralise, que l’hors du temps passe par la mort, que la seule éternité ôte tout écoulement du temps.