J’étouffe
Autant que l’air suffocant persiste
Par petites buées
Par condensation et lapements de chat
D’animal errant dans sa fugue
J’étouffe autant que les principes de l’air
S’amenuisent sur la corde que tu tiens
Dans les nuances que tu tortures
Et ma bouche abandonnée
Aspire des morceaux de nuées

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