Dans ce long granit où s’affaissent…
Des cristaux de sable…
Et des tempes osseuses…
Boues stagnantes…
Marais de feuilles chues…
Bave d’invertébrés…
Je sens comme le vin pourri
Qui tourne à tes tempes
Comme le vin sali
Qui boue dans mon ventre
Ah te creuser
Et t’épancher les hanches…