ELLE
Tu t’embrases, nos esprits sont inflammables
Tu déclenches tout, tu surplombes
Nos grottes, nos tourbillons
Escalades et appuies
Serres et obtiens
Si fort que cet idéal transpire
Tu nous frappes d’ailes
Et d’autres éponges
Signant la mort de ce que je suis
Cette corvée qu’il faut entretenir
Tu sembles mon siècle anéanti
Tu traces si bien ma disparition
Je traîne dans tes lisières favorites
Celles qui seules, toi seule succombent
Guérissent comme une cellule blanche
Eponge imbibée, je lis cette structure plane
Ces chiffres découverts et ces pattes de mouche
Cette sueur et cette chose de crustacé
Approchent, lavent les grains de sable, les roches émiettées