Dans le jardin stagnant
D’un village provençal
Des bouffées entrent qui,
Résument l’activité du monde
Résument la durée
D’un temps paradoxal

Ce sont des névroses enfouies qui,
Au contact de la chair du village
Entrent en délire
En répercutions stagnantes

Le soir se fige dans une connivence

Ajouter un commentaire

Votre email n'est jamais partagé. Les champs obligatoires sont notés : *

*
*