MORT ET NAISSANCE
Les trottoirs recèlent des secrets de désespoir, nos chères villes
Sont une mine de fatigue que le soleil ne parvient pas à atténuer
Il redouble d’efforts pour grossir les traits
De l’air, de la pollution : trou à carbone et goudron
Ah braquez moi vers la nature, ici les ombres sont mortes
Un vieux songe persiste encore : c’est une névrose qui me pousse à fuir
Un vieux songe crie à la liberté, je ne puis m’en défaire
C’est lui-même qui me fait tant souffrir, enchante toute cette liberté
Le plein, le plein, recrée les avenues princières