Voici que vire
la haine vire blanche sertie par tes dents que lèche la langue la pernicieuse langue où se vautrent les lagunes et se perdent les vagues. cela souffre l’azote les quelques composantes du ciel, se décuplent par milliards ne sont rien comme le sel sur ta peau – mais de qui parle-je – comme l’usure des goélands sur les chalutiers bercent le temps où se mêlent ces mêmes vagues.
Les carrières
partir de rien respecter le rien prier le rien ne pas tuer. un si bel esclavage expose aux limites où battent les portes et les verrous qui les enfreignent. un si bel esclavage où les tournures se superposent les corps aux éléments les nervures aux prises de sel les carrières aux flamands nourris de crevettes.
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