Dans la tourbe est le tain qui s’enfonce
Le miroir dépeint l’essentialite
Des menottes de l’indicible
J’entre dans l’heure où s’accordent
Des refrains de touches paisibles
Le dégradé est un écrin loisible
Dans l’écrit qui se veut illisible
Je lis mon empreinte qui se laisse vivre
Dans l’amour serein de ma coquille